samedi 19 janvier 2008

Entre Chili et Argentine

A Chillian, nos voisins viennent nous faire un petit bonjour et nous remettent une carte en souvenir de la ville...le lendemain matin, d'autres voisins de rues, nous lancent un autre souvenir...cette fois-ci un pavé dans le pare-brise !

Réveil inattendu et brutal.

L'impact est important et par chance, ce gros caillou est arrivé du côté passager !
Ok, merci les gars, de toute façon nous partions aujourd'hui pour Talca mais, devons nous changer d'itinéraire ???

Talca
Nous décidons d'aller voir un Parebrisas histoire de voir ce qu'il pourrait bien faire ; et, lors de nos errances dans les rues, (Nocybb ne passe vraiment pas inaperçut !) c'est Roberto qui nous accoste et nous propose de nous conduire à un Parebrisas.

Bien, après quelques mesures et coups de téléphone, Roberto et son pote reviennent pour nousproposer de le changer pour seulement...

400 000 pesos ( 600 euros ) et très rapidement, 300 000 pesos !

Ben voyons, rien que ça et en plus avec un parebrise " récup-bidouille !"

Roberto nous suit pour un autre Parebrisas qui nous fait de petits trous pour que les craqueluresne s'étendent pas !

Ok, il faut bien agir ...

Roberto repart très heureux, il a bien gagné sa journée avec la commission qu'il s'est octroyé au passage.
Quand à nous, restons présent tout au long des "travaux" !

Nous décidons de prendre la route qui mène à Mendoza de façon la plus sportive, 110 km de ripio !

Nuit dans un camping sans douche mais avec la rivière pour se laver et se baigner. (il faut noter tout de même qu'en sortant de l'eau, nous sommes déjà tout poussiéreux et terreux !)


Nous reprenons la route vers les 16h car la route avant cette heure est fermé pour cause de travaux.
Nous espèrons nous arrêter pour dormir non loin dans un endroit charmant près d'autres thermes.

A ce petit village, nous nous y arrêtons mais... le petit coin de paradis sur lequel nous devions dormir est remplacé par la route en construction, donc, nuit sous une poussière intense sur le parking !
El Médano, quand à elle, se situe en contre bas de la route, au pied de l'autre volcan et ne peut y être accédée que par escalier et petit pont pour les personnes outreuillé pour ce qui estmarchandises.
Cette ville est le rêve pour un bon repos .... pas de téléphone, pas de radio et aussi ... pasde télévision !


Bien poussiéreux et à peine levés, nous sautons dans nos maillots et descendons sans plus attendre aux bassins d'eau chaude, car ensuite la route nous attend.



La route, non pardon le chemin que nous empreintons n'est rien d'autre qu'un petit paradis !



C'est réellement majestueux !

Le rio sera toujours présent alors que nous sommes en plein desert entouré de montagnes si différentes les unes des autres.



Celle d'en face de nous est en sable fin, à notre droite elle est en pierre multicolore et là... àgauche, elle se dresse avec des formes étranges !


Plusieurs arrêts s'imposent, déjà pour souffler car la route n'est pas facile, très étroite (le ravin est toujours omniprésent) et bien accidentée mais aussi pour profiter de ces lieux magiques.

C'est ainsi que nous découvrons sous une chaleur de 30 degrés, une faille blanchedans la montagne.

Intrigués, curieux et persuadés que ce blanc qui en jailli est du sel.... nous allons voir de plus prêt et là, surprise : c'est de la glace
par dessus la quelle glisse de petits cailloux poussés par le vent.


Un grand merci à Ford pour ses poignées de porte côté passager, elles tiennent bien :

fois de Nadine !!!

Le circuit se poursuit tranquillement avec côté Argentine, des travaux pharaoniques qui nous permettent d'avoir un peu plus de mouvements dans Nocybb.


Pour la radio, nous sommes branchés sur Radio Cybélia, sur laquelle les sujets monologues ne se tarissent jamais !
Un grand merci à Colombe qui entre 2 sommolences ou bétises aquièce !

Désormais, une question reste ouverte ...
Doit on encore poser le doigt sur le pare-brise lorsque l'on croise des véhicules ?

Après une journée bien sportive comme celle-ci, nous trouvons un coin pour dormir dès la partie Paviemento atteinte.

L'heure du dépoussiérage intensif est arrivé car certains trous bouchés par Stéphane se sont ouverts durant la route.

C'est épouvantable, la poussière s'incruste partout et avons l'impression même une fois douché que la fine pellicule perciste ; sur les fringes, dans les lits, sur les doudoux, sur les cheveux !!!



Mention Spéciale à Honorine pour tous les beaux cailloux !
Peut-être pourrons nous vous en vendre quelques uns à notre retour !

Aucun commentaire: